FALLEN INTO HELL
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 Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE]

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AuteurMessage
Lullaby B. Williams
    Queen L'

Lullaby B. Williams

MESSAGES : 34
INSCRIPTION : 07/05/2010

Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE] Vide
MessageSujet: Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE]   Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE] Icon_minitimeVen 7 Mai - 17:13


LULLABY B.WILLIAMS .

    Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE] 477536leighton63
    © NENES .

      nom : B.Williams
      prénom(s) : Lullaby Baithlyn
      âge : 18 ans .
      date de naissance : 18/02/1992
      lieu de naissance : Londres .
      nationalité : Anglaise .
      emploi : Etudiante .
      groupe :I'M SICK OF THIS PLACE .



I AM WHAT I AM.

Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE] 206173erwup2.jpg



Le monde semble fortement s’effriter. Il ne suffit pas de posséder une voix ou bien une parole sage pour le constater. Mes yeux aux couleurs extrêmement changeantes et ma conscience fataliste s’en chargent à leurs places. Je ne vis que par procuration et pour les gens qui m’entoure - ou si peu d’entre eux - cela n’est pas un leurre. Mort et vie. Voila une bien belle antithèse à mon sort pour vivre dans une mortalité que je n‘envie guère. Deux termes bien opposés mais pourtant si proches l’un de l’autre comme le serait deux amants en fuite. Métaphore stupide pour existence nonchalante et destructrice. Vivre est une souffrance, et ce peu importe la candeur et l’innocence de votre nature propre. La destinée n’est pas une question de se poser les bonnes ou les mauvaises interrogations, non. C’est elle qui vous choisit pour ce qui vous incombe de devenir. Hasard, tout est un questionnement de hasard ni plus ni moins. Une route sur le chemin de l’allégresse et de la croyance si pure qui autrefois régissait la vie de million de personnes ? La vie n’est que perte et tracas, insignifiante et mesquine qui vous enlève sans détour les piliers d’une existence fortuite et détestée. Les méandres ne font qu’accabler de plus en plus ces pauvres humains que nous sommes. Je persiste à croire en la rédemption, mais le dieu des enfers guette ses portes de près pour que je puisse enfin y mettre pied. Perdre ce qui était acquis est bien plus fatal que l’imagination de tout perdre. Au final, ma raison à toujours su me guider – bien qu’elle met infligée de nombreux maux tous aussi facétieux et douloureux les uns que les autres – sans m’épargner. Etait ce un bien pour un mal ? Très certainement, après tout j’ai pu déchouer la citation de Pascal. « Le cœur a ses raisons, que la raison elle-même ignore. » ? Une sorcière comme moi n’a aucun cœur, du moins elle en possède un mais sans preuve valable à mes yeux, il est déjà mort. Mort. Quatre lettres pour un seul mot. Un nom pour que tout cesse, et ainsi pour que tous puisse disparaître du jour au lendemain. Sans crier gare la figure maternelle a disparu au profit d’un monde idyllique auquel je n’ai pas encore accès - peut être bientôt je l’espère - mais qu’il me tarde d’entrevoir. Cette pauvre défunte dont je fais l’éloge est celle qui m’a donnée la vie sans aucune retenu et un amour infini. Mon identité relève très certainement de son talent musical qui par bien des égards - sans doute - la menée à me nommer Lullaby . Et mise à part sa signification britannique de base - à savoir « velours - berceuse - » - rien ne laissait prédisposer que ce prénom usuel obéisse à un quelconque comportement. Affublée pour affublée la seconde appellation qui suit quand à elle à toute son histoire antique et pourtant je n’en crois pas un seul mot. Octhavie, digne soeur d'Octave, valeureux dirigeant de Rome disait on ? La pauvre héroine s'est vu naitre de son malheur une réalité infinie. Peut être bien. Croire pour imaginer. Malheureusement je ne crois plus en rien, mais si cette légende est réelle alors peut être que le malheur que je porte en ma présence devient véridique. Bien que l’usuel ne sois pas vraiment des plus « fondant » dans la masse, le deuxième ne semble pas plus déroger à la règle. Enfin bref, cela fait bien dix neuf années que je parcours l’ensemble de l’existence humaine et ses méandres. Les vents mauvais de Verlaine ont commencés un vingt cinq décembre dans mon cas et décidément ils me poursuivent jusqu’à l’heure de mon salut. N’y voyait aucun rapprochement surtout avec le jour de la naissance du soit disant « messie » cela n’a aucun signe, surtout de nos jours. Certains prétendent que je possède un don prémonitoire, et ils ont irrévocablement raison. Je ne le cerne pas encore totalement et le laisse venir à sa guise, après tout avons-nous vraiment le choix ? Pas tellement. Mes lèvres sont scellées par le silence. Ce dernier est souvent de l’or et peut avoir des vertus complexes. Comme les octaves à huit temps, mon existence aussi facétieuse soit elle possède autant de mystère que je dépeins au son de mon mutisme.


Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE] 21233511ghzyr.jpg



Elle se meurt petit à petit dans son chagrin infini,
en oubliant aux alentours les bonheurs de l’amour.
Ne me laisse pas pour seul ressenit une expression impassible,
aux risques de croire que tout est impossible.



C’était la seule phrase qu’elle avait prononcée devant la défunte personne qui l’abandonnait. Cette dernière bien trop encrée dans un paradis idéaliste avait succombée à la dure fatalité de la vie. Une vie qui ne voulait plus d’elle et où seul le paradis était son tombeau. Pauvre protectrice nourricière de son savoir entretenu, elle traversait à son tour les nuages blanc et cotonneux du jardin d’Eden en compagnie des anges et des dieux, qui avaient bercés ce pays songeur et idyllique. Devait elle y penser en chimères ou bien devait elle être fataliste envers cette thèse théologique et biblique ? L’enfant qu’elle était ne voulait se mouvoir que dans un monde réaliste et vrai quitte à souffrir en attendant le salut qui à son tour lui permettrait de traverser les couloirs de l’entre deux. Ses airs mystérieux et son regard azuréen ne jouaient guère en sa faveur pour ne pas attiser la flamme de la curiosité, et pourtant son visage enfantin et doux emprunté à la déesse Aphrodite des allures d’Athéna et de perfection n‘arrangeaient rien à la situation. Assise au bord d’une route de campagne qui longée quelques maisons, la gamine marchait d’une démarche nonchalante avec pour seuls témoins le ciel azur et ses pensées beaucoup trop dures. Ces dernières l’accompagnées toujours depuis sa naissance, à croire qu’elle représentait parfaitement le Jugement des Parques. Positif ou négatif ? Il fallait savoir trancher, et cela Lullaby en avait grandement l’habitude. Elle déambulait tranquillement en regardant droit devant elle, mais l’horizon de son chemin ne lui montrait rien - ou presque -. Un bruit sourd tel un ronflement se fit dès lors entendre sur la route du silence qu’elle empruntait depuis bientôt une heure et demie. Basculant son regard clair vers la gauche, elle remarqua la présence d’un vieil homme âgé avoisinant les soixante dix années. Son apparence mal fagotée, en disait long sur son appartenance sociale. Un chapeau de cow boy posé à la va vite sur le sommet de son crane, une chemise trouée, un pantalon de velours vert foncé, et un manteau de pêcheur sur le dos, le vieillard était adossé paisiblement contre le tronc d’un vieux chêne. Une brindille de blé dans la bouche, le vieil homme releva doucement son visage vers le petite fillette qui lui faisait face présentement.

« Bien le bonjour jeune fille. »

Sa voix enjouée et calme, laissait la jeune Williams observatrice et impassible. Ses yeux ne trahissaient aucunement ses émotions. Très vite, la petite en déduit qu’il s’agissait d’un vieil homme qui vagabondait au travers du pays pour voir le monde et ses méandres peut être, qui sait ? Au bout de quelques minutes, la brune se décida à s’abaisser à la hauteur de son interlocuteur.

« Tu n’es pas du genre très bavarde dis moi ? »
« En vérité je ne parle que très rarement, c’est dans ma nature c’est tout. Et vous pourquoi vagabondez vous ? »

Sa voix cristalline d’enfant raisonnait alors dans la campagne de couleur. Mains sur ses genoux la muse audacieuse regardait de manière intense et patiente l’hardi vagabond. Elle semblait l’avoir déjà vu quelques part mais elle avait encore des doutes sur sa véritable identité. Se redressant davantage à l’écoute de la question de la gosse, le nomade s’éclaircit la gorge et leva les yeux vers le ciel clair et dégagé de toutes pluies. Un soupire s’échappait alors de sa barbe quelques peu jaunis par le temps, et dans une voix joyeuse et rauque il répliqua.

« Tu m’as l’air d’une jeune fille bien perspicace et intelligente. Tu es patiente aussi, c’est tout à ton honneur jeune demoiselle. Pour ce qui est de mon choix de vie, dis toi que c’est une sorte de pèlerinage qui un temps soit peu, m’aide à oublier la douleur de la perte d’un être cher. »
« La douleur ne s’en va guère, elle demeure présente dans chaque pas, et dans chaque minutes de temps qui s’écoule.»
« Ne craint pas le monde ma gamine, il a tant de choses à t’offrir … »
« Je ne crains pas le monde, c’est les gens qui devrait me craindre je porte malheur. »

Face à la maturité des propos de son récepteur, l’homme âgé restait pantois. Ce petit ange déchu était d’une sagesse incroyable pour son jeune âge ; mais à trop s’écouter il avait perdu la notion du rêve et de l’illusion. L’illusion savait entretenir l’imagination chez l’homme et l’homme lui-même était un rêve non imagé certes, mais tout de même.

Ecarquillant ses yeux d’un rond magnifiquement définit, la mystérieuse fronça très nettement les sourcils d’un air offusqué. Elle ne comprenait pas ou bien elle ne voulait pas comprendre. Non seule la première idée seulement lui venait réellement à l’esprit. Cette œuf d’un aspect innocent représentait à lui seul les vestiges d’une vie oubliée dans les limbes du temps, alors pourquoi voulait il le lui offrir à elle ? Toujours accroupi face à son interlocuteur, la Cartwright fixait alors la vie ronde qui tenait à l’intérieur, puis doucement toisa le vieillard.

« Il est tout ce qu’il vous reste alors pourquoi ne pas le garder auprès de vous ? »
« Je sens intérieurement que tu as une grande capacité et des dons potentiels qui sommeillent en toi, en tant qu’ancien professeur d’Astronomie je m’y connait un peu. »

Lui adressant un clin d’œil suivit d’un petit rire sincère et jovial, la gamine à la chevelure d’ébène, esquissa un sourire mince aux commissures de ses fines lèvres. L’information que lui avait divulgué l’ancien enseignant lui revint alors en mémoire et il se souvenait bel et bien de son visage malgré les quelques balafres qui ornaient ses joues creuses et mattes marquées par le soleil. Oui ce personnage haut en intelligence était l’un des plus grands professeurs d’Astronomie mais aussi un chercheur de renommée internationale - ou presque -. Souvent comparé à l’Indiana Jones ; cet érudit demeurait l’un des écrivains dont la jeune fille lisait le plus d’écrits depuis qu’il était en âge de lire. Dernièrement cet homme à la notoriété grandissante avait perdu sa femme dans des circonstances douteuses et depuis plus personnes n’avaient entendu parler de lui. Peut être que la vie était traitre à l’homme, et peut être que l’existence humaine consistait à souffrir pour mieux s’en sortir grandit, mais qui le savait vraiment ?

« Bien ma jeune amie, je vais devoir te quitter pour bouger ma vieille carcasse de savant fou vers d’autres horizons, qu’en penses tu ? »

L’expression amicale et souriante du vieux fut comprise de la part de sa cadette, qui opina en sa faveur. Elle se leva à son tour et tendit la main à son nouveau camarade afin de l’aider à se remettre sur ses jambes. Sacs de voyage sous les bras et dans le dos, l’ancien fit un signe de main chaleureux à la petite sorcière qui l’observa jusqu’à ce qu’il disparaisse sous la lumière puissante des rayons du soleil.

Ton souvenir ronronne en moi comme une mélodie doucereuse.
J’apprendrais à l’apprivoiser pour que dans une brise joyeuse,
tu puisses l’entendre de ton ciel lointain.
Et alors un beau matin d’un jour prochain je te tiendrais la main.




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Imaginer je ne m’en sentais plus capable, mais aliénée je le demeurais.
De loin comme de près mon passé m’assiégeait.
Ainsi je m’armais de patience, tout en me remémorant ce refrain intense,
Pour qu’enfin mon existence y trouve un sens.


f l a s h b a c k


Mort et vie. Vivre et puis mourir. Deux mots qui demeuraient à la fois les deux extrémités d’une vie humaine – généralement s’entend – mais aussi deux verbes aux mouvements perturbateurs qui régissaient sa propre existence. Une existence qu’elle ne voulait guère revendiquer et qu’elle ne chérissait pas particulièrement. La fatalité l’animait tellement parfois que cerner cette jeune femme revenait à attraper de la poussière, et attraper de la poussière c’est quasiment – ou presque – impossible. Etait elle chimérique pour les yeux de ses pairs ? N’avait elle aucunes intentions particulières, ou de qualités, pour ne dépeindre que sur son visage d’ange déchu une moue mystérieuse, froide et mélancolique. En réalité aucunes de ces interrogations ne pouvaient répondre à ses attentes. Tout se jouait et se retrouvait - parfois – dans le passé, un antérieur que l’on tente plus ou moins d’occulter pour laisser le temps agir en correcteur et consolateur de douleurs. On n’oubliait tellement la valeur du temps, qu’une fois trop effacé on omettait de mentionner les rencontres qui le constitue. Rien est bien pire que d’occulter son passé, cette vie antérieur qui autrefois faisait de vous un enfant, un innocent face à la dure réalité de la vie, un ange plein de grâce et volonté sans faille - ou presque -. La pluie glaciale d’un automne platonique venait marteler les malheureux carreaux d’une demeure qui l’indifférait plus qu’autres choses. Coudes juxtaposés sur le rebord de la fenêtre, l’air sortant de ses douces lèvres finit sa course sur la vitre délivrant dès lors un filet de buée. Cette dernière témoignait de la froideur de la pièce ne tarderait guère à s’intensifier. Tête posée sur ses avants bras, l’adolescente scrutait le ciel au plafond d’un bleu nuit étoilé et luminescent. Son visage aussi clair que la couleur de la lune, agissait de manière complémentaire à son expression qui pouvait semer le doute entre une mélancolie constante et un mystère inexpliqué. Patiemment elle tendait à éclairer le plus possible, le pourquoi du comment de ses nombreux maux. Alors que tout tourbillonnait dans son esprit, ce dernier fut remit sur le droit chemin par une voix suave et articulée qui la tira de sa songerie. « Te voilà de nouveau réveillée ? Tu ne veux pas revenir près de moi ?! ». Bien que son attention fut interrompu durant quelques minutes, Lullaby repartit ni une ni deux dans ses réflexions coutumières, toujours ce silence lyrique accroché sur les lèvres. Feinter les individus, la muse en avait quelques peu l’habitude. En revanche le concerné n’appréciant guère son geste d’ignorance vint délicatement déposer ses mains robustes sur les frêles épaules de sa camarade. Sans crier gare, la Williams poussa les mains de son interlocuteur en lui présentant un regard glacial et catégorique.

S’il y avait bien une chose contre laquelle la facétieuse Lullaby se rebellait c’était les rapports de force. Les relations humaines n’étaient pas dans les manches blanches de la douce, et la tendresse si précieuse qu’elle rejetait non plus. Pas la peine de tergiverser plus longtemps sur le sujet, car lui aussi attendait beaucoup plus de la jeune fille . Pourtant elle avait été des plus honnête envers lui ; en lui affirmant qu’elle ne pouvait lui donner ce qu’il attendait de sa personne. En d’autres termes, le fait de l’aimer comme il l’adorait. Décidément autrui - tout confondus - se complaisait dans une illusion idyllique de l’existence humaine. Les hommes étaient tous naïfs, à croire que la vie leurs donnerait monts et merveilles. Secouant son visage de bohème d’un mouvement nonchalant et négatif, l’ange répliqua d’une intonation murmuré. « Il est tant pour toi de partir Louis. ». « Comment ça ?! Je croyais que tu n’étais pas sérieuse lorsque tu … ». Un souffle ironiquement cristallin mais masqué, se fit alors entendre de la part de la belle à la chevelure emmêlée. « Irrévocable je le suis toujours. ». Sa voix de velours mais chuchotée se perdit dans un souffle lorsqu’elle se leva. Bouche bée face à la tournure actuelle de la situation, le pauvre malheureux suivit du regard l’Allure fataliste qui avait coupée court à son histoire romanesque, romantique. Vêtue d’une cape sombre, elle recouvra ses boucles d’encre d’un capuchon, et s’avança d’un pas assuré vers l’ancienne cheminée de brique qui ornait la pièce. Sur cette dernière reposait un pot en terre glaise dans lequel se trouvait la coutumière et inoubliable poudre blanche .

f l a s h b a c k e n d


« Je veux encore de toi. ». Le filé de fumée qui s’évaporait de sa cigarette vint doucement se coller à la vitre d’une chambre miteuse. Un vieil hôtel qui depuis de nombreuses semaines venait accueillir une jeune femme et un jeune homme qui à en juger par leurs apparences n’étaient guère issus de la même ascendance. Elle, dos calé contre l’encadrement de la fenêtre principale s’accommodait à fumer une énième cigarette. Le regard ballant et fixant la rue illuminée de réverbères, l’audacieuse muse s’adonnait à laisser ses nombreuses pensées vagabonder selon le bon vouloir de sa conscience facétieuse. A ce moment précis plus rien ne lui accordait son attention, car seule l’envie d’errer en solitaire sciée à merveille à son caprice. Dès lors des mains vinrent frôler son nuque dénudée, et la sortit de sa songerie. Saisissant rapidement les mains du jeune inconnu à la voix inceste et tremblante, la brune aux reflets de jais enleva ces dernières et répliqua d’une voix catégorique. « Ne vois pas au-delà de tes désirs. ». « Tu es a moi et je ne suis pas prêt à pouvoir te partager avec d’autres Lullaby ! ».

Tirant une dernière bouffée de nicotine de l’époque, la dénommée Lullaby laissa filer entre ses doigts fins et blanc le mégot de cigarette par la fenêtre. Elle souffla alors tranquillement la fumée et posa son regard impassible sur celui avec qui elle venait de partageait son lit. Elle était imprévisible et indéchiffrable, certainement pour marquer son coté unilatérale de sa vie de pauvre humain qui ne pouvait choisir ses choix. Une famille disloquée, l’avenir de non choix, avoir des ambitions qui n‘étaient guère les siennes, la misère actuelle n’épargnez personne que l’on demeure de sang pur ou de sang mêlé , c’était du pareil au même. Un soufflement se fit entendre tel un réveil assourdissant en plein silence religieux dans une cathédrale. L’homme aux boucles d’ébène s’approcha de la mystérieuse tel un prédateur guettant sa proie, et tout cela pour venir coller ses lèvres sur celles tant désirées de la Williams. Cette dernière sans crier gare le poussa sans retenu loin d‘elle. Elle aimait vivre sans rien penser - et pourtant - mais il y a bien une chose qu’elle haïssait c’était d’embrasser une homme. En dépit de ses agissements qui ne regardait qu‘elle, la volage réservait cet attrait à la personne qui ferait véritablement battre son cœur de pierre. Elle cachait beaucoup de qualités derrière ses défauts, mais rien ne fonctionnait comme elle s‘y attendait. En effet, tout son comportement emprunt d’un mystère extraordinaire ne faisait qu’attiser le regard de la gent masculine - alors que tout ce qu’elle attendait au fond d‘elle-même c’était la paix de la solitude. Courroucé par le comportement inattendu de sa partenaire, le jeune garçon s’indigna et réprimanda la belle. « Pourquoi me repousser ainsi ! Nous sommes … ». « Laisse tomber Walker, mais tu savais très bien à quoi tu t’engageais lorsque nous avons commencés. ». « Pourquoi tu ne veux pas laisser une personne entrer dans ton univers Lully ! ».

Se levant de son reposoir où un peu plus tôt elle avait pris soin de prendre une cigarette, l’héritière de la famille Williams , enfila sa veste d’hiver et sortit au travers du dehors brumeux et humide. La muse disparue alors dans la nuit noire et aux allures orageuses, d’une démarche nonchalante et observatrice. Levant alors son regard vers la lune d’un jaune étincelant pour la période, Lullaby savait d’hors et déjà que son existence était vouée à demeurer seule, tel oiseau migrant vers d’autres terres.





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Tu demeures une petite virtuose, en qui je place beaucoup d’espérance,
Ne crois pas en la fatalité qui ronge la moindre de tes fines croyances.
La valeur du don qui tourne en toi se veut clair et éternel,
Et apprend que cette dernière passe par ton lien fraternel.


f l a s h b a c k


L’œuvre du temps est bien définitive dans le cercle d’une vie humaine. Ce dernier passe puis ensuite trépasse, le tout pour laisser ensuite sa place. La musique avait ses propres vertus, et le temps apprenait à l’humain à grandir. Un phénomène que vivait tout enfant en passant de l’enfance a l’adolescence. Cette dernière pouvait se montrer dépressive, oisive, changeante, rebelle ou encore contradictoire. Chacun la vivait à son rythme au gré de l’ambiance familiale, ou des chemins qu’il emprunte. Ne pas croire en quelques choses relevait pour certains de la fatalité, et pour d’autres personnes cela n’avait aucune signification particulière et cette remarque faisait partie de la philosophie de la brune aux reflets de jais. Elle ne pensait pas que les beautés des croyances existaient et encore moins la possibilité que les grands seigneurs religieux puissent y mettre leur grain de sel comme si tout dépendait de leur bon vouloir. Doucement une brise de vent hivernale vient s’échouer dans la chevelure bouclée de l’adolescente perchée à une bonne trentaine de mètres du sol fertile du terrain de baseball du quartier. Lullaby tendait à observer l’issu du match amical qui s’activait entre son équipe d’amis et leurs adversaires venant d’une autre ville voisine. L’horizon commençait doucement à se dessiner lorsqu’une voix doucereuse et impatiente le tira de sa rêverie soudaine mais quotidienne à la fois. « Lullaby réveille toi ! Tu attends quoi par les chaussettes de Merlin ?! Que le ciel te tombe sur la tête ? ».

Les paroles de son meilleur ami raisonnaient dans sa conscience comme une musique en fond sonore. La virtuose se questionnait encore sur le pourquoi du comment de la situation actuelle. L’intelligence dont elle faisait preuve ne la laissait aucunement doutée face à l’issu du résultat final du match. Lullaby était agile et svelte, et la place qu’elle occupait dans l’équipe était primordiale pour mettre fin à la rencontre sportive. Cette dernière pensée en mémoire, la britannique partit sans crier garde en direction de la balle la plus vivace . Ses mouvements s’accordaient sans détours aux fougasses de vent, et sa rapidité ainsi que sa force décrivait à la perfection ses prochains actes. Aucune surprise ne fut nécessaire lorsqu’elle fut en possession de la balle tant convoitée par l’équipe adverse, et c’est avec un mince sourire satisfaisant sur le visage, que la future étudiante redescendit en direction de la terre ferme. Balle dans une main et l’autre tenant fermement la petite balle ; Lullaby fut de nouveau très vite entourée pas sa bande d’amis d‘autrefois. Tous s’afférait à la féliciter avec de grands compliments – certains qu’elle trouvait plus qu’exagérés – et elle comme une bonne équipière tentait d’esquisser un sourire amical. Relevant alors quelques peu son visage vers les hauteurs du plafond bleu azur, la silencieuse observa son compagnons des fous rires de toujours, qui sur son balai ancien lui faisait signe de le rejoindre un peu plus tard. Balançant dès lors son visage pour masquer sa soudaine malice, elle lâcha un signe de la main à ses camarades, pour recouvrer le chemin du rire qui la mènerait sans discussion aucune vers celui avec qui elle avait connu la description première de l’amitié.

f l a s h b a c k e n d.



Dos calé contre le tronc d’un arbre centenaire, la jeune Williams tenait entre ses mains un énième ouvrage d’astronomie. Une matière qui la passionnait sans pour autant qu’elle n’en fournisse des efforts particuliers. Les efforts. L’érudit aux allures stellaire n’en faisait guère plus ces derniers temps, à croire que la joie de vivre dont elle faisait quelques peu preuve avait soudainement disparue sans explication. Hors l’explication de la cause était réelle et bien présente comme encrée dans un passé qui avait sauvegardait son existence. Une existence qu’elle remettait souvent en cause. Ses prunelles d’un regard clair et ambré se fondaient parfaitement dans les écrits du bouquin qu’elle tenait devant elle. Les cris qui l’entouraient ne la gênaient pas plus que cela, elle en faisait parfaitement l’abstraction jusqu'à ce qu’une voix douce et quotidienne ne parvienne à son esprit. Relevant alors rapidement son visage d’un geste vif, la taciturne reconnue sans détour sa sœur aînée – qui tout comme elle avait quelques peu transformée con caractère coutumier -. « Encore sur ce vieux livre ! frangine parfois tu me désespères. ». « Que veux tu, on ne change pas les bonnes vieilles habitudes. ». « Oui je sais, et alors aujourd’hui j’ai envie de faire la fête, et tu vas m’accompagner ! »

L’expression sincère et mielleuse de la blonde – de manière générale – avait toujours eu raison de sa conscience, car elle n’aimait pas vraiment décevoir Maxxie mais son humeur maussade de des derniers jours, ne lui donnait pas l’envie de s’amuser. Elle n’en avait pas du tout - la moralité et - la raison qui d’ailleurs ne suivait guère ce genre de faveur. Elle ferma dès lors l’ouvrage de l’étude des étoiles, et esquissa un mince sourire aux commissures de ses lèvres. Elle opina pour ne rien dire, ne rien conter et tout garder à l’intérieur de sa conscience afin de profiter pleinement du lien qui l’unissait à sa frangine. Elles formaient une sorte de tandem bien complice mais elles étaient aussi divergentes, ce qui leur permettait sûrement de se compléter. En un sens comme dans l’autre, Lullaby se résigne à sa raison qui demeure selon elle, le seul maître de la lumière. Ne plus souffrir, une idée fortement idéalisée. La muse n’y croyait plus tellement et c’est sur une note de fatalisme que la joueuse de quidditch partit d’un pas nonchalant vers la sortie du domaine magique.




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Si un jour nous promettons l’existence éternelle, elle serait la première à ne pas lever la main. Si le temps s’arrêtait pour renaitre et garantissait plus aucune souffrance, elle ne lèverait pas non plus la main. Et si un jour ses lèvres fines et angéliques dépeignaient un large sourire, alors le monde tournerait enfin de compte rond. La mort et la vie. Vivre ou mourir. Quel choix d’envergure avions nous présentement ? Quoi qu’il arrive dès qu’un humain vient au monde, il est déjà prédestiné à mourir et à disparaitre de la surface de la terre. L’abondance de terre n’était pas ce qu’il manquait sur les lieux de son enfance, et l’abondance de solitude quand à elle ne cessait de se poursuivre inlassablement. Installée derrière l’instrument à cordes frappées, la muse divine tendait à vouloir laisser son imagination la surprendre comme tant d’autres fois où elle espérait que le don illusoire et prémonitoire lui joue des tours. Des tours qu’elle n’appréciait pas particulièrement mais qui lui remémoraient des vestiges anciens auxquels elle accordait beaucoup d’importance. Patience pour patience, les heures défilaient tout doucement sans ressentiments différents. Le « tic » et le « tac » de l’horloge demeurait le seul bruit à entendre dans la demeure où elle avait passé toute son enfance. Un « mi » majeur. Un « do » mineur. Une partition de Mozart pour une attention qu’elle voulait au hasard. La patience se voulait vertu, mais rien ne vint satisfaire son attente. Secouant rapidement son visage angélique d’une manière tout à fait négative, Lullaby se remit derechef à pratiquer une autre partition encore et encore. La chorégraphie que menait ses mains fines et blanches poursuivaient sans relâche les mêmes mouvements et ce à une rapidité de plus en plus accrue. Ses yeux se voilèrent alors sans crier gare d’un ton légèrement blanchâtre et ses doigts de musicienne cessèrent toute activité.

Plus rien. Vision plus ou moins nette d’une dune de sable aux couleurs chaudes d’un rayon de soleil. Un vent d’une finesse exagéré vint alors se jeter dans sa tignasse en bataille et elle continue de marcher encore et encore comme le « Petit Prince » de Saint Exupéry. Sans relâche et avec entêtement elle semble vouloir poursuivre sa route. Le plafond d’un bleu azur s’éclaircit dès lors davantage, et la soif parcours les recoins de ses lèvres qui demandent qu’un breuvage d’eau limpide et claire. Rien. Personne. La dune semble encore lointaine mais elle y parvient tout de même. A bout de force, à bout de souffle, à cours d’eau, elle se laisse glissait sur le par terre de sable chaud. Désormais assise, mains gisant sous les grains de sable, elle observe l’horizon et contemple ainsi tout le chemin déjà parcourus. Plus bas dans les coulisses le prédateur veille au grain. Sa peau lisse et sans accros glisse sans un bruit sur le sol non fertile et brulant. A l’affut de sa proie, il le toise et le cerne tranquillement en attendant que le moment opportun soit saisit. Sans le quitter des yeux, le reptile avance avidement et sans crier gare vint marquer son territoire alimentaire en le mordant sans réserve aucune sur l’avant bras.

Ses prunelles recouvrent leurs teintes naturelles et c’est le souffle court qu’elle tente de reprendre une respiration moins haletante. Doucement un silence de plomb s’empare dans la pièce, et seul la chamade du vent raisonne en fond sonore. Que pouvait bien signifier cette vision ? Cette dernière demeurait amplement floue et vague et pourtant si précise à la fois. Les signes étaient plus ou moins explicites, mais la signification lui manquait. Elle se souvint alors de la prémonition dont elle avait eu vent quelques jours avant la mort de la figure maternelle alors qu’elle était à peine âgée de sept ans. Un souvenir qu’elle tentait d’occulter autant qu’il la hantait. Un serpent et une morsure. Un désert et une jeunesse actuelle. Que pouvait bien signifier cette vision momentanée des choses. Ses pensées tourbillonnèrent encore et encore sans cesse à l’appel de ses connaissances. Relevant doucement son visage dénués d’émotions, la Williams compris alors ce qu’il pouvait advenir de sa personne si elle ne prenait pas en compte les conseils qu’on lui apportait vis-à-vis de sa maladie.

Avide d’obtenir quelques choses ? Je ne l’ai jamais été, et j’espère bien de jamais l’exprimer. La mort. Un terme qui n’apporte que le salut de l’âme. Un mot. Quatre lettres. Une définition. Un sens. Une douleur. Une épreuve. Une existence brisée. La vie humaine m’a toujours passionnée autrefois, lorsque la joie animée mes traits de petite petiote aux allures silencieuses. La vie est triste, douloureuse, et pantoise. Elle ne vous laisse jamais sourire - si ce n’est qu’un instant ou si peu - sans avoir les conséquences. La muse de mon enfance, celle qui m’a tout appris, celle qui demeurait mon unique délivrance a pris la route des cieux au profit d’un chemin ailé où ma présence n’est plus requise. Qui suis-je pour apporter le malheur autour de ma personne ? Non toutes ces interrogations sont actuellement présentes dans ma conscience parce que la souffrance et la déchirure de la perte m’accable, mais plus tard, lorsque les bribes de son sourire angéliques s’amenuiseront ; je penserais à elle, en bonheur et meurtrissures. La mort n’était qu’une épreuve et est liée à la vie comme un anneau sacré de mariage arrangé. Nous venons au monde mais sous conditions. Après tout, comme le prétendait Platon vivre demeurait une souffrance passagère, mais mourir était la délivrance de l’éternel. Les ouvrages philosophiques, toujours les mêmes jonchaient encore sur le sol de sa bibliothèque. Des manuscrits qui me faisaient raisonner sur un amas d’interrogations tous aussi interminable les unes que les autres. Infatigable, oui elles l’étaient mais la patience dont je m’armais n’été qu’une armistice entre moi et les aléas de vie. Pourquoi porter l’appellation d‘ « Octhavie », s’il n’a guère de connotations bénéfiquement positives ? A quoi me sert l’espérance si par mégarde j’ai perdue mon ultime et dernière octave ?

« Lullaby , c'est quand que tu pars ? » « Je sais plus trop » « Tu prend l'avion ? » « Oui » « Je sens que ça va mal tournée . »






I AM BEAUTIFUL ... OR NOT.

" Il y a Elle et les autres " . C'est ainsi la conclusion que tout individu confondu présent sur cette Terre faisait . Lullaby , qui ne connaissait pas Lullaby ... Dans beaucoup d'oreilles ce prénom ne cesser de résonner . Miss Williams était surtout connu pour son incroyable aura , son excentricité et sa provocation . Bien qu'elle n'est jamais été l'archétype de la beauté. Elle avait façonné son image et son caractère de manière à être resplendissante , inégalable et respectée . Bien qu'elle soit odieuse et manipulatrice , les gens était amoureux. Amoureux de son magnétisme , de sa puissance naturelle ... C'est vrai qu'elle ne le faisait pas exprès ... C'était un peu dans les gènes . Faut dire que toute sa lignée était fière , noble & arrogant . Voilà les valeurs que l'on avait inculqué à la jeune fille et pour être honnête Williams les appliquées parfaitement. C'est vrai ? Qui l'avait vu durant toutes ces années , baisser les bras ? Personne . Lully n'avait jamais montré une quelconque faiblesse , j'avais une larme à l'oeil , j'avais un minois blasé . Elle incarnait la force , c'est ce qui plaisait certainement aux gens . Elle avait l'air indomptable , le regard toujours plus haut et plus loin . Mais ce qui plaisait particulièrement aux garçons , c'était peut- être sa pureté . Oui , tout le monde le savait que Miss Williams n'avait jamais donné son corps à quiconque . Et les mâles se prenait à rêver preux chevaliers , découvrant le corps filiforme de Lully ... Faut dire que derrière ce caractère mystique se cachait une charmante fille . La jeune fille savait qu'elle ne pouvait pas rivaliser avec toutes ces brindilles blondes que l'on voyait dans les rues de Londres . En effet , Miss Williams était assez petite , plutôt mince parce qu'elle faisait attention à ce qu'elle mangeait . Ce qui était inégalable chez elle , c'était son visage , son regard sombre et profond , elle avait des yeux foncés . Une bouche et un nez qui fin et pour couronner le tout une magnifique chevelure brune qui encadrait parfaitement son visage de féline ... Lully savait mettre son visage en valeur avec un maquillage léger.



YOU, BEHIND THE COMPUTER.

    prénom : Victoire .
    que penses-tu du forum ? Il est vraiment bien . J'ame le contexte .
    qu'est ce qui t'as poussé à t'inscrire ? Le contexte me fait penser à LOST , bref j'aime !
    niveau de rp ? Assez bon . J'essaye de faire des RP assez long x) Mais parfois en semaine , je me precipite un peu , et c'est pas vraiment long .
    activité sur le forum ? 6/7 . Je suis là en semaine mais je ne repond pas toujours aux RP , je me contente de les lires .
    multicomptes ? Non .
    as tu déjà été inscrite sur le forum ? Non .
    célébrité sur l'avatar : Leighton Meester . Parce qu'elle gère sa grand-mère .
    code du règlement : OK by James.


Dernière édition par Lullaby B.Williams le Ven 7 Mai - 18:39, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE]   Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE] Icon_minitimeVen 7 Mai - 17:19

    Mon dieu quelle fiche magnifique oO.
    Bienvenue. ♥️
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MessageSujet: Re: Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE]   Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE] Icon_minitimeVen 7 Mai - 17:27

    Merci ; OH MY GOD ton avatar est magnifique .


Dernière édition par Lullaby B.Williams le Ven 7 Mai - 17:43, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE]   Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE] Icon_minitimeVen 7 Mai - 17:32

Wow, bienvenue Smile
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MessageSujet: Re: Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE]   Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE] Icon_minitimeVen 7 Mai - 17:34

    Merci Cameron ♥️
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MessageSujet: Re: Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE]   Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE] Icon_minitimeVen 7 Mai - 17:51

    Désolé du DP , mais j'ai FINIE .
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MessageSujet: Re: Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE]   Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE] Icon_minitimeVen 7 Mai - 18:36

Bienvenue Lullaby !
Effectivement, ta fiche est géniale ! Par contre, le code est à semi-faux, relis bien le règlement et tu le trouveras facilement. Smile
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MessageSujet: Re: Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE]   Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE] Icon_minitimeVen 7 Mai - 18:40

    Merci ; voilà j'ai changée mon code !
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MessageSujet: Re: Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE]   Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE] Icon_minitimeVen 7 Mai - 18:43

Il est bon !
Je t'envoies le test. Very Happy
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MessageSujet: Re: Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE]   Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE] Icon_minitimeVen 7 Mai - 18:44

    Merci .
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MessageSujet: Re: Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE]   Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE] Icon_minitimeVen 7 Mai - 19:50

Tu es validée, bravo. Smile
Il te suffit maintenant d'aller recenser ton avatar ici et pour terminer d'écrire ton premier poste ici à la suite des autres. Ensuite tu pourras écrire où bon te semble. Puis visite la section suivante '' https://fallen-into-hell.bbactif.com/gestion-des-personnages-f7/ '' , ça pourra sans doute t'aider à t'intégrer dans le forum. Sinon bon jeu et n'hésite pas à nous rejoindre dans la partie flood !
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MessageSujet: Re: Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE]   Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE] Icon_minitimeVen 7 Mai - 19:58

Hop, avec un peu de retard, mais je tenais quand même à le dire : Bienvenue <3
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MessageSujet: Re: Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE]   Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE] Icon_minitimeVen 7 Mai - 20:03

Bienvenue Lully ^^
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MessageSujet: Re: Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE]   Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE] Icon_minitimeVen 7 Mai - 20:47

Bienvenue sur l'île Lullaby !! ^^
Wouahhh quelle belle fiche Wink
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MessageSujet: Re: Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE]   Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE] Icon_minitimeVen 7 Mai - 22:13

    Merci Yareal .
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MessageSujet: Re: Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE]   Lullaby Baithlyn B.Williams [VALIDÉE] Icon_minitime

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